De Marius Von Mayenburg
Mise en scène Maïa Sandoz
Traduction Mathilde Sobottke
Collaboration à la mise en scène Élisa Bourreau, Gilles Nicolas
Avec Serge Biavan, Maxime Coggio, Paul Moulin, Maïa Sandoz en alternance avec Aurélie Verillon
Création son Christophe Danvin
Création lumière Julie Bardin
Scénographie et costumes Catherine Cosme
Collaboration artistique Paul Moulin, Guillaume Moitessier
Régie générale et plateau Thibault Moutin
Régie son Jean-François Domingues, Samuel Mazzotti
Administration et production Agnès Carré
Diffusion Olivier Talpaert
Photographies © François Goizé
Production Théâtre de l'Argument
Aide à la production ARTCENA
Coproduction Le Théâtre de Rungis, MC2 Grenoble, Le Théâtre des Quartiers d'Ivry - Centre Dramatique National du Val de Marne, les théâtrales Charles Dullin Edition 2018
Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National, action financée par la Région IDF.
Avec le soutien de la SPEDIDAM, de L’ADAMI
Durée du spectacle 1h30
Michael et Ulrike, pressurisés par leur travail, l’entrée précoce de leur fils dans la puberté et par le patron d’Ulrike ( le célèbre artiste conceptuel Serge Haulupa) sont au bord du burnout. Une aide ménagère les soulagerait, ils engagent Jessica qui va ranger, faire la vaisselle, cuisiner et s’occuper du petit. Michael et Ulrike font face à un terrible dilemme, comment se comporter de manière appropriée quand vous vous retrouvez dans le rôle du patron ? Surtout quand vous vous êtes toujours autoproclamé défenseur des droits des travailleurs. Et soudain Haulupa veut Jessica pour une de ses installations. Ce qu’elle doit faire ? Ce qu’elle fait tous les jours : nettoyer la merde des autres mais cette fois en public. Un flirt avec l’humiliation ? Oui, mais c’est au nom de l’art, n’est-ce pas ?
" La toute nouvelle pièce (en plastique) de Marius von Mayenburg met en scène avec une impitoyable lucidité le gouffre existant entre nos convictions et nos actes. L'auteur se lâche : rythme effréné de la langue, vivacité des enchaînements, ellipses surprenantes, variations d’adresses, mise en abîme, parcours parfaitement équilibré des personnages, humour noir, cynisme, mauvais goût, ironie, poésie, mystère, une dramaturgie agressive, au bord du Burnout. "Stück Plastik" impose sans pudeur, une plongée dans les recoins obscurs de nos âmes petites bourgeoises.
C’est brillant, jouissif et ça fait très très mal. "
Maïa Sandoz
Théâtre Le Monfort - Paris- Du 2 au 13 juin 2020
3T - Châtellerault - 6 juin 2020
Création Théâtre des Quartiers d'Ivry du 5 au 16 novembre 2018
Théâtre de Rungis 29 et 30 novembre 2018
Théâtre-Studio d'Alfortville 13 au 15 et 20 au 22 décembre 2018
MC2 - Scène nationale de Grenoble 7 au 11 janvier 2018