SUREXPOSITIONS

 

Texte librement inspiré de l’œuvre et de la vie et de l’acteur Patrick Dewaere

 

Texte Marion Aubert

Mise en scène Julien Rocha

Assistant·e à la mise en scène en cours

 

Avec Margaux Desailly, Fabrice Gaillard, Johanna Nizard et Cédric Veschambre

Dramaturgie Emilie Beauvais et Julien Rocha

Scénographie Clément Dubois et Julien Rocha

Musique Benjamin Gibert

Création lumière Nicolas Galland

Régie générale Clément Breton

Régie son & vidéo Etienne Arnaud

Costumes Marie-Fred Filion

Perruques Cécile Kretschmar

Graphisme Jérôme Pellerin

 

Co-production Le Caméléon, scène labellisée – Pont-du-Château / Les Célestins, Théâtre de Lyon / Théâtre Municipal d’Aurillac, scène conventionnée – Aurillac / Château Rouge, scène conventionnée – Annemasse / En cours de production

 

Soutien avec le soutien de la ville de Clermont-Ferrand, La Chartreuse de Villeneuve lez Avignon – Centre national des écritures du spectacle / La Maison Jacques Copeau – Pernand-Vergelesses / Le Théâtre du Marché aux Grains, Atelier de Fabrique Artistique, Bouxwiller 

 

La pièce

 

Il y a Dewaere l’homme public et l’homme impudique. Un homme aux frontières croisées. C’est un terrain de jeu pour l’acteur, cette danse de « funambule » schizophrène. Il est question de romancer les limites qu’un homme donne à sa vie. Dire Dewaere et traverser ses failles, c’est choisir de parler d’un jeu d’acteur complexe (névrosé, dangereux, d’un naturel jubilatoire et parfois d’un grotesque grand-guignol). Dire sa quête, son envie d’interpréter c’est intellectualiser l’« inconscience » de l’acteur.  Que lâche-t-on ? Que retient-on ? Comment ne pas devenir fou ? Être Patrick DEWAERE borderline, sur le fil.