J'AI BIEN FAIT ?

 Texte et mise en scène Pauline Sales

Avec Gauthier Baillot, Olivia Chatain, Anthony Poupard, Hélène Viviès

 

Scénographie Marc Lainé, Stephan Zimmerli

Son Fred Bühl

Lumière Mickaël Pruneau

Costumes Malika Maçon

Maquillage / perruques Cécile Kretschmar

Construction décor Les ateliers du Préau

 

Production Le Préau Centre Dramatique de Normandie – Vire

Coproduction Théâtre du Champ au Roy – Guingamp 

 

Texte édité aux éditions Les Solitaires Intempestifs

Visuel Jeanne Roualet

 

La pièce

Valentine a quarante ans, deux enfants déjà grands, des parents vieillissants, un mari souvent absent, un frère avec qui elle ne s’entend pas, plein d’anciens élèves qui peuplent ses rêves, plein de nouveaux qui remplissent ses journées. 

 

Elle déboule un soir dans la vie de son frère plasticien. Qu’est-ce qu’elle fait là ? Qu’est-ce qu’elle a fait ? Un acte insensé ou l’acte qui donne un sens à sa vie ?

 

Elle s’interroge sur sa responsabilité de femme, de mère, de professeure, de citoyenne, sur son époque, sur sa génération. Comme beaucoup, elle a  la sensation d’être submergée par la complexité du monde.

Comment agir en conscience ? 

Son frère, son mari généticien de l’ADN ancien, une ancienne élève qui enchaîne les petits boulots, qu’ils le veuillent ou non, les voici tenus de chercher avec elle une réponse.

 

La presse

"La quarantaine rugissante de Pauline Sales [...].

Valentine, prof de collège dans une petite ville, affronte la crise de la quarantaine. Avec ce portrait d’une femme qui fait le point sur sa vie, Pauline Sales pose, non sans distance comique, de vraies questions sur l’existence et la transmission." Emmanuelle Bouchez - Télérama

 

"Un texte captivant porté par quatre comédiens ingénieux, et une mise en scène aussi onirique que cocasse." Alisonne Sinard - France Culture

 

"Qu’il est dur le passage à la quarantaine, quand on s’interroge sur le sens de sa vie. [...] Dans le décor d’un atelier encombré de blancs traversins, elle (Valentine) se met elle-même à la question. Ce pourrait être pesant, sinistre. C’est sans compter la force vitale de l’écriture à l’architecture savante, inattendue, un rien loufoque, pleine d’humour. Sans, aussi, la vivacité des comédiens qui l’interprètent."  Didier Méreuze - La Croix 

 

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