GEORGE DANDIN                                                                     ou le Mari confondu

 

Texte Molière

Mise en scène Jean-Pierre Vincent 

Dramaturgie Bernard Chartreux

 

Avec (par ordre d'entrée en scène) 

Vincent Garanger, Gabriel Durif, Anthony Poupard, Elizabeth Mazev, Alain Rimoux, Olivia Chatain, Aurélie Edeline, Iannis Haillet

 

Assistante à la mise en scène Léa Chanceaulme

Scénographie Jean-Paul Chambas assisté de Carole Metzner

Costumes Patrice Cauchetier assisté de Anne Autran

Musique originale Gabriel Durif d'après les extraits du Grand Divertissement royal de Versailles (Molière-Lully)

Lumière / vidéo Benjamin Nesme

Son Benjamin Furbacco

Maquillage Suzanne Pisteur

Réalisation costumes Atelier Caraco

Construction décor et accessoires Les ateliers du Préau avec Cyrille Florchinger et Clémentine Pignal

 

 

Production Studio Libre, Le Préau Centre Dramatique de Normandie – Vire, Théâtre Dijon-Bourgogne - CDN

Avec la participation  du Jeune Théâtre National

Remerciements aux Ateliers de la Comédie de Caen - CDN de Normandie

 

La pièce

"[...] la descentes aux Enfers de celui qui s'était cru parvenu (sic) au ciel. Ne racontons pas l'histoire dans le détail : elle est assez simple et droite, en apparence du moins.

Trois actes, trois tentatives pour rester le maître à bord, trois échecs, trois humiliations : le réel qu'on voulait fuir revient au galop. Le pire étant que le bonhomme sait pratique tout dès le départ, il le dit et le répète : inépuisable lutteur d'un combat perdu d'avances.

Il sera "confondu", c'est-à-dire "convaincu d'une erreur (ou d'un faute)". Il y a bien dans chaque acte une forme de procès, que lui-même cherche à intenter, et qui se retourne contre lui, avec châtiment à la clé. L'aristocratie, même morte, est épargnée. "L'impunité n'y est point punie", écrivait Ramon Fernandez. Mais "confondu" signifie aussi "troublé, agité,éperdu". Comme dans d'autres scénarios de Molière, il y a un "devenir fou" du personnahe central : c'est la tragicomédie de George Dandin De la Dandinière. Mais qui sait ? la vraie fin tragi-comique... [...]" 

 

La presse

"Du théâtre classique à son meilleur : Jean-Pierre Vincent offre une lecture passionnante pour notre époque de George Dandin, petite comédie de Molière, en fait d'une radicalité et d'une modernité  étonnantes" Fabienne Darge - Le Monde

 

"Jean-Pierre Vincent nous renvoie à nous-mêmes, en s'amusant de l'image d'un grouillant panier de crabes. On rit jaune au final de se rendre compte que sur cette scène, comme dans la vie, chacun n'est plus motivé que par le désir de devoir sauver sa peau" Patrick Sourd - Les Inrocks

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