QUAND PLUS RIEN N’AURA D’IMPORTANCE

 

Mise en scène George Lavaudant 

Première partie Textes de Michel Deutsch

Deuxième partie d’après Carmelo Bene, Louise Bourgeois, Marguerite Duras, William Forsythe, Nan Goldin, Niki de Saint Phalle, André Robillard, Nathalie Sarraute, Didier Wampas et Apichatpong Weerasethakul 

 

Avec Éléonore Alpi, François Charron, Marie Demesy, Adrien Françon, Heidi Johansson, Maïté Lottin, Benoit Moreira et Clara Paute

 

Danse Charlotte Brossard, Hamza Elalouani et Rachel Galissaire 

 

Assistanat à la mise en scène : Marie Demesy

Chorégraphie Ricardo Moreno avec l’aimable participation de Jean-Claude Gallotta 

Lumière et régie générale Laura Cottard

Scénographie Clara Georges-Sartorio

Son Emilien Serrault

Costume Salomé Romano

Réalisation scénographie Salomé Bathany, Mathis Brunet-Bahut, Adèle Collé, Nina Coulais, Coline Gaufillet, Ariane Germain, Marie Grenier, Inês Mota, Emma Ricard, Kinga Sagi, Manon Terranova et Rachel Testard

Assistanat costume Alice Domergue

Régie de production costume Jasmine Comte et Emma Ply-Raynal

Coupe et réalisation Adèle Aigrault, Julie Carol-Frayer, Llana Cavallini, Vérane Mounier, Amandine Nuninger, Mina Quillerier et Cloé Robin

 

© Alexandre Schreiber

 

La pièce

Quand plus rien n’aura d’importance est un montage de textes et d’interviews de différentes provenances, recentré autour de la question et des pouvoirs de l’art. L’art doit-il se donner des limites ? S’enfermer dans des contraintes morales, politiques, esthétiques ? Les artistes peuvent-ils, et doivent-ils, revendiquer une forme d’impunité et d’irresponsabilité ? Quels sont leurs doutes, leurs hésitations, leurs contradictions, leurs convictions ?

 

Le travail initié dès 2020 avec les élèves de l’ENSATT, annulé pour cause de COVID, voit enfin le jour sous la forme d’une trilogie.

D’abord, un prologue comme un impromptu, proposé par Michel Deutsch. Suivi d’une série d’interviews d’artistes (William Forsyth, Marguerite Duras, Niki de Saint Phalle, et d’autres). Enfin une dernière partie plus énigmatique, une forme de rêverie, mettant en jeu le travail du corps, orchestré par Ricardo Moreno et Jean-Claude Gallotta.

Cet ensemble, sans trop d’esprit de sérieux, n’oublie pas de mettre en avant les qualités et la personnalité de chacun des protagonistes. Récits disparates qui tentent d’accompagner une époque un peu déprimante, mais dont nous espérons qu’elle prendra rapidement fin.