NORMALITO

 

Texte et mise en scène Pauline Sales

 

Avec Antoine Courvoisier, Cloé Lastère en alternance avec Romane Buunk, Anthony Poupard

 

Lumière Jean-Marc Serre

Son Simon Aeschimann

Scénographie Damien Caille-Perret

Maquillage / coiffure Cécile Kretschmar

Costumes Nathalie Matriciani

Régie générale Xavier Libois

Régie lumière Xavier Libois et Grégoire de Lafond

Régie son Christophe Lourdais 

 

Une commande de Fabrice Melquiot pour le Théâtre Am Stram Gram

Production Théâtre Am Stram Gram (Genève, Suisse) et Cie À L’ENVI, conventionnée par la DRAC Île-de-France

Coproduction Le Préau CDN de Normandie – Vire

Coréalisation Les Plateaux Sauvages, Paris 

En partenariat avec le Théâtre de la Ville 

 

Édité aux éditions Les Solitaires Intempestifs.

 

La compagnie est soutenue et accompagnée par Elektronlibre :

Olivier Saksik pour les relations presse - olivier@elektronlibre.net // 06 73 80 99 23

 

La pièce

 

La maîtresse a demandé à tous les élèves de sa classe de CM2 d’inventer leur super-héros. Lucas a dessiné Normalito le super-héros « qui rend tout le monde normaux ». Lucas a dix ans et il juge que dans sa classe il y a de moins en moins de gens normaux.

Tout le monde a des singularités, lui ne s’en trouve aucune. Entre les hauts potentiels, les troubles du dys, les handicapés, ceux qui viennent d’autres pays, il a l’impression d’être oublié. La maîtresse le réprimande. On ne devrait pas penser comme lui. Lucas se met en colère bien décidé à défendre son point de vue.

Après cet incident, Iris, l’enfant-zèbre, tente de se rapprocher de Lucas, elle qui aimerait tant devenir normale. Les deux enfants, que tout sépare, apprendront à se connaître. Ils découvriront les parents de l’un et de l’autre, et, bizarrement, dans cette autre famille, une manière de vivre qui correspond mieux à leurs attentes respectives.

Deux mondes, deux univers deux classes sociales, laquelle est plus « normale » que l’autre ? Est-ce bien « normal » de se sentir mieux chez les autres que chez soi ? Le jeune duo va fuguer et rencontrer Lina, la dame pipi des toilettes de la gare. Lina n’est pas une femme tout à fait comme les autres, elle est née homme dans un corps qui ne lui correspondait pas…

A travers cette fable sur la normalité et la différence, sur les peurs que nous inspirent ceux que nous ne pensons pas comprendre et qui sont pourtant comme nous, nous abordons la tolérance, l’empathie. Ne sommes-nous pas tous différents et tous semblables ?

 

La presse

 

"La nouvelle création de Pauline Sales, dont on sait l’attention particulière portée au jeune public, touche au cœur d’une question sensible, celle de la normalité et de la différence. La pièce tient toutes ses promesses de fable contemporaine. Tour à tour riant, s’exclamant, s’indignant, pouffant et au final applaudissant à tout rompre, les spectateurs en herbe dans la fraîcheur de la découverte éprouvent manifestement ce que l’on attend du théâtre dans sa fonction cathartique et salvatrice [...]".

Marie-Emmanuelle Dulous de Méritens - La Terrasse

 

"Dans un décor qui évoque l’espace intime des toilettes, tout d’abord celles de l’école, puis celles d’une gare, l’autrice et ici metteuse en scène, Pauline Sales, questionne avec subtilité et profondeur les notions de normalité, de différence, mais aussi de tolérance. Le ton y est léger, les événements rocambolesques, le jeu des trois comédiens excellent. Une histoire qui invite à garder un regard ouvert et empathique sur l’autre." TTT Télérama

 

"Plume concise, poétique, Pauline Sales plonge dans le monde de la préadolescence pour mettre en lumière les préjugés, les idées reçues. Dénonçant avec ingéniosité ce qui est la norme, elle esquisse les contours d’une autre réalité, celle où la différence, qu’elle soit religieuse, ethnique, sexuelle, genrée, etc. , est une force, un plus, une richesse. Haine et idées préconçues au placard, petits comme grands se laissent emporter par ce conte contemporain ingénieux et touchant." Olivier Frégaville-Gratian d’Amore - L'Oeil d'Olivier

 

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