NOUS QUI AVIONS PERDU LE MONDE

Odyssée musicale et poétique 

 

Texte, mise en scène, voix Clément Bondu

Composition musicale Jean-Baptiste Cognet
Arrangements et interprétation musicale
Guitare électrique, piano Jean-Baptiste Cognet
Guitare électrique Franck Rossi-Chardonnet
Basse, MS20 François Morel
Batterie Yann Sandeau
Flûte, synthétiseurs Fanny Rivollier,
Violoncelles Aëla GourvennecLydie LefèbvreAmandine Robillard
Création lumières  Clémentine Pradier
Production Mémorial* - Coproduction L'Onde (Vélizy)
Avec le soutien du 104-Paris, La Chartreuse-CNES et La Comédie de Reims-CDN

Note d'intention

Le spectacle est conçu en deux parties distinctes et complémentaires. La première partie, intitulée Le Jeune homme aux baskets sales (chants I à IV) raconte le voyage éclaté aux quatre coins de la Terre d'un jeune homme en quête d'absolu et de vérité, dessinant à travers les villes, les pays, une cartographie singulière. Sensations vives, bribes de souvenirs, visions d'été. De ces errances, les images défilent. Des fantômes des Balkans aux paysages détruits de Palestine, en passant par les villes noires du Nord européen, et les grands espaces d'Amérique latine, le jeune homme aux baskets sales se fait l'héritier de Rimbaud, de Cendrars, de Kerouac, poète-voyageur désirant se réconcilier avec le sens du possible. La seconde partie, intitulée Les Adieux (chants V à VIII), est celle de la maturité. Confronté à la réalité de son temps et à la violence de l'Histoire, le jeune homme aux baskets sales continue sa quête à travers les continents, à la recherche du « lieu acceptable », passant volontairement d'un bord à l'autre du vieux monde. Face au paysage des villes tentaculaires du XXIe siècle dédiées au capitalisme mondial le voyage se fait peu à peu archéologie de la mémoire, hanté par les souvenirs du communisme, de la Russie à Cuba, en passant par la Chine, les États-Unis, le Mexique, le Vietnam, la Mongolie, l'Afrique rouge de Zanzibar, de Tanzanie, jusqu'à Berlin-Est, dans la nuit de l'Europe, en proie à la résurgence du fascisme et de la peur.

 

Presse

" Les Français Memorial*. Les titres de leur album Premières impressions sont comme de longs poèmes, très forts, aux formats inhabituels  et qui accordent une grande liberté à l’imaginaire."  Martine Rozenman  ELLE (9/09/2015)

 

" Il y a ici de la rage, de l’intelligence, une volonté de résistance, un verbe débridé, et du rock de haute volée sous influence Joy Division / Radiohead : tout ce qu’on aime ! " J-L Porquet Le Canard enchaîné (22/07/2015)

 

Dates des représentations

 

Les Adieux (chants V à VIII)

Théâtre de la Cité Internationale Du 28 au 30 mars 2019

 

Le Jeune homme aux baskets sales (première partie : chants I à IV)

Création  L’ONDE (Vélizy) du 4 au 6 octobre 2016

Théâtre A Châtillon 18 octobre 2016

Hall de la Chanson 11 et 12 novembre 2017

 

 

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