Librement adapté de la Trilogie New-yorkaise de Paul Auster
Adaptation et mise en scène Igor Mendjisky
Avec Gabriel Dufay, Pascal Greggory, Rafaela Jirkovsky, Ophélia Kolb, Igor Mendjisky, Thibault Perrenoud, Lahcen Razzougui, distribution en cours
Dramaturgie Charlotte Farcet
Création vidéo Yannick Donet
Création animation 2D Cléo Sarrazin
Scénographie Anne-Sophie Grac
Musique Raphaël Charpentier
Lumières Stéphane Deschamps
Costumes Emmanuelle Thomas
Construction décors Jean-Luc Malavasi
Production Moya Krysa - Compagnie conventionnée DRAC IDF
Direction de production En votre Compagnie / Olivier Talpaert
Coproduction Théâtre de la Ville de Paris ; L'Azimut - Antony/Châtenay-Malabry, Pôle National Cirque en Île-de-France ; Scène nationale du Sud-Aquitain ; Théâtre de Meudon ; Espace Marcel Carné à Saint-Michel-sur-Orge ; Le Grand T - Théâtre de Loire-Atlantique ; Théâtre-Sénart, Scène nationale, en cours
La trilogie new-Yorkaise nous plonge dans un univers dans lequel les protagonistes sont contraints de changer d'identité. Dans 'Cité de verre', un auteur de polar nommé Quinn devient le détective Paul Auster, à la suite d'une erreur téléphonique. Dans 'Revenants', un détective investit un appartement sans savoir ce qu'il doit observer. 'La Chambre dérobée' est une histoire d'amitié entre deux hommes. L'un disparaît, laissant l'autre devant la dure charge de faire de ses écrits un chef- d’œuvre. La trilogie prend une allure de quête métaphysique et la ville, illimitée, insaisissable, devient un gigantesque échiquier où Paul Auster dispose ses pions pour mieux nous parler de dépossession.
"De quoi parle cette trilogie ? Pour dire vrai je ne sais pas, et donner une réponse précise et détaillée réduirait à mon sens la profondeur de ce « monument ». Peut-être que cela parle d’identité, d’écriture, de création, de solitude, de quête de soi à travers la quête des autres. Cela parle d’amour, d’amitié, du deuil et de ses conséquences, de l’enfance et de ses troubles. C’est un polar, un thriller, une fresque métaphysique, drôle, vibrante et bouleversante. C’est peut-être tout simplementl’histoire d’une ville et de son bouillonnement. Je crois que comme chaque grand roman, cette trilogie porte en elle tous les grands thèmes de la condition humaine."
Igor Mendjisky